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Education et Métiers

Dans notre enquête sur l'intégration des immigrants de pays tiers sur le marché du travail luxembourgeois, les deux problèmes les plus souvent abordés étaient la reconnaissance des qualifications et les langues. En recherchant sur ces perturbations, nous avons trouvé que leurs diplômes doivent être accorder par le Centre national d’information sur la reconnaissance académique (NARIC). Ceux avec des qualifications universitaires et professionnel doivent faire reconnaître leur certificats avant de pouvoir postuler pour des rôles spécifiques dans les domaines de la santé, de l’éducation, du commerce, des professions libérales et artisanales (cela c’est pour des professions comme médecin, avocats, ingénieurs et enseignants). Les problèmes de compétences linguistiques sont à cause d’avoir plusieurs langues administratives (luxembourgeois, français, allemand). Dépendant du secteur, on a besoin d’une langue plus que dans d’autres.

Education et Métiers: Service

Les Articles

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Des opportunités d’éducation secondaire alternative au Luxembourg

Des opportunités d’éducation secondaire alternative au Luxembourg
Au Luxembourg, il existe une variété d’écoles où les étudiants peuvent obtenir un
diplôme francophone, anglophone ou germanophone. Certaines de ces écoles
dispensent également un enseignement primaire.


• Baccalauréat Européen:
â—¦ European school, Lux 1 et 2
â—¦ International school Junglinster
â—¦ European school Edward Steichen Clervaux
â—¦ International school Differdange et Esch-sur-Alzette
â—¦ International school Mondorf les bains


• IBDP:
â—¦ International School of Luxembourg, ISL
◦ Lycée Athénée de Luxembourg
◦ Lycée technique du Centre
â—¦ Waldorfschoul Letzebuerg School


• Autres:
◦ St Goerge’s International School Luxembourg (GCSE and A-Levels)
◦ Lycée Michel Lucius (IGCSE and AS-Levels and A-Levels)
◦ Lycée Vauban (Baccalauréat français)
Sources:

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La diversité des langues : chance ou malchance ? 

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Le Luxembourg est renommé pour son multilinguisme. Notamment parce que  le Luxembourg dispose de trois langues administratives qui sont le français, l’allemand et le  luxembourgeois. L’utilisation de telle langue plutôt qu’une autre varie selon la région du  pays. 

Le français, par exemple, qui est une des langues officielles du Luxembourg, est  indispensable dans le domaine du droit et de la justice. Le luxembourgeois s’avère être plus  que nécessaire dans les secteurs de la vente, fonction publique, santé ainsi que tous les  métiers qui sont en contact direct avec la population locale. De plus, l’anglais gagne du  terrain dans le monde du travail luxembourgeois, surtout dans les secteurs des finances, IT,  tourisme et hôtellerie. Les autres langues parlées au Luxembourg comme le portugais,  l’espagnol et l’italien sont essentielles dans des postes concernant les relations de ses pays. 

Cette diversité des langues donne alors la possibilité à beaucoup de personnes avec  différentes connaissances linguistiques à travailler au Luxembourg. 

Plus spécifiquement, les personnes venant des pays voisins, également connues sous le  nom de « travailleurs frontaliers », ont une possibilité de trouver un travail ici. Néanmoins, cette multitude des langues parlées crée des barrières linguistiques. Il y a une  grande variété des langues au Luxembourg ce qui peut devenir un problème pour ceux qui  n’ont de connaissance que dans une langue. L’attente dépasse souvent les capacités  linguistiques réelles, puisqu’on a tendance à croire que tout le monde parle plusieurs  langues. Un exemple plus précis est le secteur de la santé où les patients se trouvent  souvent confrontés à une barrière linguistique. Dans le secteur médical, la plupart  des employés viennent de France ou de Belgique et ne parlent souvent que le  français et n’ont que quelques bases dans les autres langues officielles. À cause de ces  connaissances linguistiques limitées, parler avec des patients qui ne maîtrisent pas le  français, peut conduire à des problèmes de communication voire à un faux diagnostic. 

Que pensez-vous du multilinguisme au Luxembourg ? Y a-t-il plus de bénéfices que  d’inconvénients quand un pays parle beaucoup de langues ? Avez-vous, vous-mêmes été  confronté à des expériences où la barrière linguistique a entravé votre quotidien ? 

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Complications dans l’intégration des immigrants des pays non-UE au marché du  travail 

D’après le Migration Integration Policy Index (MIPEX), une étude sur l’intégration des  migrants, le Luxembourg a reçu soixante-quatre des cent points possibles, ce qui le  positionne légèrement au-dessus de la moyenne du classement général. Ce chiffre est la  moyenne des scores que le Grand-Duché a eus dans des catégories comme l’éducation, la  santé, la participation politique et l’anti-discrimination. Au cours des années, on voit que le  pays s’est amélioré dans la plupart des catégories. Pourtant, dans le domaine de la mobilité  sur le marché du travail, le Luxembourg stagne avec le même score de quarante-sept points  depuis 2007.  

Le MIPEX a noté que le pauvre accès et support des possibilités au marché de travail et  compétences linguistiques par rapport aux immigrants venant des pays hors de l’Union  Européenne (non-UE) seraient la raison pour les faibles résultats du Grand-Duché. Notre  questionnaire était donc orienté sur les migrants venant des pays hors UE pour avoir leur  point de vue sur le sujet. Nous avons constaté d’après les réponses les deux points de  critique principaux étaient effectivement la reconnaissance des diplômes ainsi que les  exigences linguistiques. 

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Commençons par la reconnaissance des qualifications : nous avons trouvé que leurs  diplômes doivent être validés par le Centre national d’information sur la reconnaissance  académique (NARIC). Ceux avec des qualifications universitaires et professionnels doivent  faire reconnaître leurs certificats et diplômes avant de pouvoir postuler pour des rôles  spécifiques. Ceci est nécessaire dans les domaines de la santé, de l’éducation sociale, du  commerce, des professions libérales et de certaines professions artisanales (par exemple  des professions comme médecin, avocats, ingénieurs et enseignants). De plus, nous avons  constaté qu’il y a un autre facteur qui complique l’intégration des personnes venant des  pays non-UE. Ce facteur est la langue. L’article « La diversité des langues : chance ou  malchance? » adresse ce problème. 

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Après avoir parlé du processus de reconnaissance des diplômes au Luxembourg et dans  quels domaines les langues sont essentiels, nous vous demandons, cher lecteur, de  commenter sur ce sujet. Pensez-vous qu’il est difficile de s’intégrer au Luxembourg? Êtes vous, vous-même ressortissant d’un pays tiers, externe à l’Union européenne, venu au  Luxembourg pour le travail ?

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